Le lendemain, je fis la grasse matinée jusqu’à 10H30. A midi, j’étais prête. Et à la demi, comme prévu, Tokio Hotel arriva chez moi.
Moi : Salut !
Eux : Salut !
Moi : Bon ben puisque vous êtes là, on peut y aller !
Comme à chaque fois que je suis allé dans ce restaurant, le repas était délicieux !
Tom : J’ai vraiment bien mangé là !
Moi : Normal ! C’est le meilleur restaurant ! Et ce n’est pas pour rein que je l’ai choisi !
Tom : Tien au fait, Bill, tu payes mon repas, j’ai oublié l’argent dans la voiture !
Bill : Ben moi aussi !
Tom : Bon ben Georg ?
Georg : Pareil !
Tom : Gustav ! Ne me dis pas la même chose !
Gustav : Et bien si !
Moi : Heureusement que je suis là !
Tom : Ouf ! Merci !
Bill : On te remboursera !
Moi : Non ce n’est pas la peine ! En plus, c’est l’argent de mes parents, ils me l’ont donné ce matin !
Eux : Ah !
Quand nous fûmes sortit du restaurant, nous partîmes en ville. On alla dans le centre commercial. Ils voulaient chacun me faire un cadeau, mais pour que je ne les "espionne" pas, Tom décidé de rester avec moi.
Bill : On va changer ! Je reste avec Laure, et vous, vous allez acheter le cadeau !
Tom : Ok, ça marche !
Moi : Et qu’est-ce qu’on va faire en attendant ?
Bill : Ben … euh … tiens ! Il y a un photomaton, on a cas y aller !
Moi : Ok !
On commença à faire une photo normale, puis on se mit à faire les idiots ! C’était trop marrant ! Bien sûr, après chaque prise, Bill récupérait les photos. Puis, je me rappelai de quelque chose
Moi : Au fait, hier, tu voulais me dire quelque chose. C’était quoi ?
Bill : Ah oui !
Il mit les pièces, puis approcha sa tête vers la mienne. Nos lèvres se touchèrent. On s’embrassait. Et pendant qu’on s’embrassait, une photo fut prise, ce qui immortalisa notre 1° baisé.
Bill : Je crois que tu as compris. En fait, depuis quelque temps, je pensais beaucoup à toi, et quand je te voyais, mon cœur battait plus fort. Quand je m’en suis rendu compte, j’ai compris.
Moi : Je ne sais pas quoi dire …
Bill : Alors ne dis rien.
On sortit du photomaton. Bill avait gardé les photos. Tom, Georg et Gustav, en nous voyant, se dirigèrent vers nous. On repartit. On rentra chez moi, et là, ils me donnèrent leur cadeau. Ils avaient acheté que des bijoux, en plus dans le style que je voulais !
Bill : J’avais remarqué que tu n’en avais pas ! Alors j’ai eu cette idée !
Moi : Merci beaucoup ! Il ne le fallait pas !
Tom : Tu as payé le restaurant, il fallait bien qu’on te le rende !
Bill : Je vois qu’il nous reste 3 heures, on fait quoi en attendant ?
Tom : D’habitude c’est toi qui as des idées, pas moi !
Bill : Laure, tu as un appareil photo numérique ?
Moi : Oui pourquoi ?
Bill : C’est partit pour une séance photo improvisée !
Gustav : Génial !
Par chance, il n’y avait personne chez moi ! Au début, on faisait de jolies poses, mais petit à petit, tout partit en folie ! C’était du n’importe quoi ! Je réussis même, en un seul coup, à prendre correctement Bill et Tom qui se battaient avec des coussins ! Et Tom, à un moment, me pris comme un sac à patates, ce que je déteste particulièrement ! A la fin, on avait pris entre 150 et 200 photos !
Tom : Dis ! Tu nous les enverras les photos !
Moi : Ok mais comment ?
Bill : Je sais !
Il marqua sur un bout de papier des adresses électroniques et postales, ainsi qu’un numéro avec lequel je pouvais les joindre. A mon tour, je leur donnai mon adresse électronique et postale et mon adresse. Après, ils durent partir. Je dis au revoir à Gustav, Georg, Tom, et enfin à Bill. Bill et moi nous nous embrassâmes et serrâmes fort dans nos bras devant les autres, qui nous regardaient avec un petit sourire.
Bill me chuchotant : Je t’aime !
Moi chuchotant : Moi aussi je t’aime !
Et ils partir. Ça me faisait mal au cœur de les voir partir.
Un matin où j’étais en train d’envoyer par mail les 161 photos prises le jour de leur départ, ma sœur alla chercher le courrier à la boîte aux lettres.
Ma sœur : Laure ! Tu as reçu quelque chose !
Moi : J’arrive !
Une lettre. Je l’ouvris. Dedans, il y avait des photos, ceux du photomaton. Il y en avait deux de chaque tirage. Bill avait gardé les deux autres de chaque prise. Il y avait même un mot, avec écrit dessus:
"Tu me manques beaucoup … Je t’aime !
Bill" The end